Notre mission est de permettre à tous les citoyens d’être capables de sauver une vie en cas d’urgence cardiaque.
Pourquoi l’arrêt cardiaque ? Car c’est la 1ère cause de mortalité évitable, avec plus de 50 000 personnes qui meurent chaque année en France. Les victimes ont en moyenne 60 ans, et sont parfois beaucoup plus jeunes
Actuellement, le taux de survie est de seulement 5% parce qu’il faut agir dans les 4 premières minutes pour sauver une vie, alors que les secours mettent en moyenne 15 à 20 minutes pour arriver. Il faut donc agir avant leur arrivée.
Et alors que l’on trouve de plus en plus de défibrillateurs sur la voie publique, ce qui est déjà très bien, il faut savoir que plus de 80% des arrêts cardiaques ont lieu au domicile des particuliers. Le reste du temps, essentiellement sur le lieu de travail.
Dans 70% des cas, un témoin est présent. Et c’est ce premier témoin, le proche, l’ami, le collègue, le voisin, qui peut agir et changer les choses avec des gestes simples et un défibrillateur à portée de main.
Heureusement, l’arrêt cardiaque n’est pas une fatalité. Des exemples le prouvent, comme Seattle aux Etats-Unis ou Piacenza en Italie, qui affichent plus de 50% de taux de survie. Comment ?
En formant l’ensemble de la population aux gestes qui sauvent et en installant des défibrillateurs partout.
À la création de Lifeaz, le marché des défibrillateurs était déjà vaste, mais il présentait plusieurs problèmes. Des défibrillateurs parfois trop compliqués, souvent peu maintenus et non fonctionnels, très rarement associés à de la formation aux gestes qui sauvent. Et surtout, aucun défibrillateur n’avait été pensé pour le domicile des particuliers, et aucun n’était accessible financièrement.
Notre mission est de permettre à tous les citoyens d’être capables de sauver une vie en cas d’urgence cardiaque.
Pourquoi l’arrêt cardiaque ? Car c’est la 1ère cause de mortalité évitable, avec plus de 50 000 personnes qui meurent chaque année en France. Les victimes ont en moyenne 60 ans, et sont parfois beaucoup plus jeunes
Actuellement, le taux de survie est de seulement 5% parce qu’il faut agir dans les 4 premières minutes pour sauver une vie, alors que les secours mettent en moyenne 15 à 20 minutes pour arriver. Il faut donc agir avant leur arrivée.
Et alors que l’on trouve de plus en plus de défibrillateurs sur la voie publique, ce qui est déjà très bien, il faut savoir que plus de 80% des arrêts cardiaques ont lieu au domicile des particuliers. Le reste du temps, essentiellement sur le lieu de travail.
Dans 70% des cas, un témoin est présent. Et c’est ce premier témoin, le proche, l’ami, le collègue, le voisin, qui peut agir et changer les choses avec des gestes simples et un défibrillateur à portée de main.
Heureusement, l’arrêt cardiaque n’est pas une fatalité. Des exemples le prouvent, comme Seattle aux Etats-Unis ou Piacenza en Italie, qui affichent plus de 50% de taux de survie. Comment ?
En formant l’ensemble de la population aux gestes qui sauvent et en installant des défibrillateurs partout.
À la création de Lifeaz, le marché des défibrillateurs était déjà vaste, mais il présentait plusieurs problèmes. Des défibrillateurs parfois trop compliqués, souvent peu maintenus et non fonctionnels, très rarement associés à de la formation aux gestes qui sauvent. Et surtout, aucun défibrillateur n’avait été pensé pour le domicile des particuliers, et aucun n’était accessible financièrement.